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Le Petit Nounours
Le Petit Nounours
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14 septembre 2009

Rien de rien...

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Une belle voix, une enfance misérable, un dos voûté, les lèvres légèrement grimaçantes, et une vie déchirante... C’est Edith Piaf, c’est la Môme.

  Née dans une famille d’un contorsionniste et une chanteuse de rue, la petite Edith était gardé par sa grand-mère paternelle et elle a expérimenté une période aveugle. Elle était une chanteuse de rue jusqu’à être remarquée par Louis Leplée, qui lui a donné la première occasion de monter sur la scène. Depuis alors, la carrière de chanteuse professionnelle de Edith Piaf a commencé.

   Le montage raffiné du film La Môme nous montre toute la vie de l’artiste Edith Piaf, ou plutôt une vie derrière la gloire du succès de ce chanteuse, une vie brisée, une vie d’une femme qui était fauchée par la malala_mome_emidie, l’alcool et la drogue, fragile et mal aimée. Le réalisateur nous déploie la déchéance en cachant le succès sous les ombres. Les scènes éblouissantes et les ombres de la chambre d’Edith font une comparaison évidente et cette comparaison represente à la fois la gloire et la solitude. Les lumières et les ombres, ils composent l’entier d’Edith Piaf, qui est reconstitué indéfiniment par le porté de caméra vacillant, sauf durant la partie où Edith a rencontré le boxeur Marcel et est tombée amoureuse—les scènes sont si stabilisées, en exprimant son bonheur éphémère. Puis, le désespoir, le douleur, la blessure du coeur apparaissent sur l’écran quand la nouvelle de la mort de Marcel est arrivée. Mon coeur a été déchiché, juste comme celui d’Edith au moment où elle marchait vite, pleurant, criant hystériquement , dans la chambre et soudain, elle est arrivée sur la scène alors que tous les auditeurs étaient devant elle, attendant qu’elle chante. Elle a eu encore des larmes sur le visage. Quelle cruauté de la vie...

   Les époques différentes de la vie d’Edith sont présentées, petit à petit, tour à tour, jeunette, adulte, et enfin, mourante. Bien qu’elle tombe dans le coma, et qu’elle soit tourmentée par la madadie et les morts des personnes qu’elle aimait le plus—son fils et son amant. A la fin du film, quand la journaliste lui a demandé des conseils pour des filles et des femmes, elle a répond en souriant, « Aimer ! » A ce moment-là, toutes les douleurs, toutes les injustices, toutes les tortures de la vie n’ont compté plus. Elle n’attendait rien, elle ne regrettait rien, elle ne craignait pas l’obscur, ni la solitude, elle craignait que son monde manque d’amour.

   Non, rien de rien ; non, je ne regrette rien ; ni le bien, qu’on m’a fait ; ni le mal, tout ça m’est bien egal...

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Commentaires
R
une voix impeccable...<br /> Elle a connu toutes les caprices de la vie..
E
啊,这么巧啊,我前两天正好和Max同学看的也是这部唉~<br /> 很赞~
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