Un peu pour la Seine...

En lisant un texte de François MAURIAC, « La nature est morte ! », je me mets à m’interroger si l’être humaine est en train de se détruire, je te jure, je n’exagère pas, je n’ose pas. On est toujours fier de lui-même en s’assurant que tous les progrès, toutes les techniques, tous les développements qui se voient aujourd’hui marchent bien. On n’a aucun doute., on est rassuré...Sans doute les hommes peuvent-ils contrôler la force d’anéantissement comme le nucléaire en éviter la destruction de la guerre atomique. Il est même possible de protéger la Terre d’être heurté par des comètes qui peut la détruire, à la même fois tous les êtres vivants sur elle. C’est pas le point capital, nous pouvons tout laisser à la politique et la technique. Ce que je veux dire, c’est les petits changements presque invisibles, mais qui agissent tout le temps sur notre environnement. Comme François dit, « je m’interroge : les hommes ne finiront-ils pas par assassiner tout de même la nature, par la tuer à la petite semaine, jour après jour, nuit après nuit ?... » Je ne suis pas un éconaïf, ni un végétarien, mais je veux m’entendre même si la voix est faible. Les avertissements et les blâmes semblent un peu de trop, car on a déjà dire beaucoup pour protéger notre planète qui existe seule dans l’univers.

Hier soir, quand je trouvais des informations sur la Seine, j’ai lu des passages sur son environnement, dans le passage, L'aménagement de la Seine en voie navigable, avec de nombreux barrages, a créé autant d'obstacles s'opposant au passage des poissons migrateurs. Ces barrages construits en aval et aussi en amont ne visent pas à la production de l’électricité, mais à la pêche. Je crains que les poissons ne disparaissent dans 50 ans ou plus tard... En même temps, les déchets augmentent, selon le passage, les déchets de la Seine normande représentent un volume d’environ 9000 tonnes, soit la production annuelle de déchets ménagers des habitants d’une ville de 20 000 habitants. La Seine est un ruban de soie qui coule à travers la ville de Paris, Personne ne veut pas que les dessins sur ce ruban soient remplacés pas des taches...François MAURIAC trouvait que « le rossignol s’était tu, peut-être pour toujours... », mais la Seine vit encore, c’est pas trop tard !